Aux CBEJO, la collecte de données sociodémographiques est jugée importante, car elle nous permet :
Oui. En fait, la Commission ontarienne des droits de la personne encourage vivement les organismes à recueillir et à utiliser des données démographiques pour faire un suivi des résultats et des expériences, et favoriser l’équité.
Aux CBEJO, nous pensons que nous ne sommes pas à même de comprendre pleinement l’expérience des jeunes en matière de services si nous n’en savons pas suffisamment sur eux. Certes, si poser de telles questions peut paraître intrusif et donner l’impression de compliquer le travail, les données recueillies, quand on les utilise à bon escient et de manière éthiquement acceptable, peuvent être extrêmement utiles pour mettre en place de meilleurs services et soins pour les personnes marginalisées.
Dans la mesure où leur situation peut changer, il est important que les jeunes aient la possibilité de mettre à jour leurs renseignements sociodémographiques.
« Au cours du mois dernier, quelque chose a-t-il changé dans tes informations sociodémographiques qui pourrait nous aider à mieux te servir? Exemples : changement de logement, d’emploi, etc. »
Le personnel est en mesure de voir la date de chaque visite à la page d’accueil de la plateforme de Dacima.
Avant d’examiner les questions sociodémographiques des CBEJO, nous tenons à souligner l’importance d’adopter une approche de prise en charge individuelle et centrée sur la personne. Aucune enquête sociodémographique ne révèle tous les antécédents d’une personne, et elle n’est pas censée le faire. La collecte de données sociodémographiques est simplement un outil qui nous aide à travailler avec chaque jeune pour comprendre et contextualiser ses antécédents, son vécu, ses points forts et ses besoins uniques.
Les questions: