At YWHO, collecting sociodemographic information is considered important because it:
To highlight the important purpose and role you play in this work, watch Tamekia MizLadi Smith’s TED Talk clip on the How and Why of collecting sociodemographic data.
At YWHO, we believe that we cannot fully understand youths’ service experiences without knowing more about who they are. While it can be invasive to ask these questions and sometimes feel like more work, when the data is used appropriately and ethically, it can be extremely beneficial to fight for better service and care for people on the margins.
It’s important for young people to have a chance to update their information as their situations can change.
On the first visit (clinical or non-clinical): Youth will be asked to complete all of the sociodemographic questions.
After 30 days, give youth an opportunity to update their sociodemographic information. Suggested wording for sociodemographic data update: "Has anything changed about your sociodemographic information in the past month that may help us better serve you? Example: Housing situation has changed, employment status, etc."
Before we take a look at YWHO’s sociodemographic questions, we want to emphasize the importance of taking an individual, client-centered approach to our work with youth. No sociodemographic data survey can tell the full story of a person, and it is not meant to. Sociodemographic data collection is simply a tool to support us in working with each young person to understand and contextualize their unique stories, histories, experiences, strengths and needs.
To illustrate the importance of a person-centered understanding, hear Chimamanda Ngozi Adiche’s renowned TED Talk on the Danger of a Single Story.
The Questions:
Aux CBEJO, la collecte de données sociodémographiques est jugée importante, car elle nous permet :
Oui. En fait, la Commission ontarienne des droits de la personne encourage vivement les organismes à recueillir et à utiliser des données démographiques pour faire un suivi des résultats et des expériences, et favoriser l’équité.
Aux CBEJO, nous pensons que nous ne sommes pas à même de comprendre pleinement l’expérience des jeunes en matière de services si nous n’en savons pas suffisamment sur eux. Certes, si poser de telles questions peut paraître intrusif et donner l’impression de compliquer le travail, les données recueillies, quand on les utilise à bon escient et de manière éthiquement acceptable, peuvent être extrêmement utiles pour mettre en place de meilleurs services et soins pour les personnes marginalisées.
Dans la mesure où leur situation peut changer, il est important que les jeunes aient la possibilité de mettre à jour leurs renseignements sociodémographiques.
« Au cours du mois dernier, quelque chose a-t-il changé dans tes informations sociodémographiques qui pourrait nous aider à mieux te servir? Exemples : changement de logement, d’emploi, etc. »
Le personnel est en mesure de voir la date de chaque visite à la page d’accueil de la plateforme de Dacima.
Avant d’examiner les questions sociodémographiques des CBEJO, nous tenons à souligner l’importance d’adopter une approche de prise en charge individuelle et centrée sur la personne. Aucune enquête sociodémographique ne révèle tous les antécédents d’une personne, et elle n’est pas censée le faire. La collecte de données sociodémographiques est simplement un outil qui nous aide à travailler avec chaque jeune pour comprendre et contextualiser ses antécédents, son vécu, ses points forts et ses besoins uniques.
Les questions: